Bonjour j’ai une petite lise de 4mois et demi qui a mis du temps à trouver le bon lait car j’ai allété pendant un mois et demi et après on la mise au lait de soja car elle avait du mal a digérer . là je la passe tout juste au lait 2ème age et elle recommence c’est crise de colique ou je ne sais pas quoi. elle met du temps à boire c’est bib. jen ne sais pas par quoi commencer Lesarchives par sujet : nathalie loiseau Recherche de Territoires Recherche d'Annonces Recherche d'Évenements Le blog - l'actualité territoriale Se connecter Contribuer ! Recherche de Territoires Recherche d'Évenements Se connecter Contribuer ! X. nathalie loiseau (dordogne) Nous créons le site internet de votre association. Cliquez pour en savoir plus. Affiner par Lespurées congelées du commerce, comme celles de La Mère Poule, se rapprochent beaucoup des purées maison côté saveur et texture. Mais elles sont plus chères. Les purées en petits pots sont, hum, comment dire? Elles goûtent les petits pots. Elles peuvent s’avérer pratiques, mais elles ont 2 inconvénients majeurs. Premièrement Ence qui concerne les petits pots et la diversification alimentaire, voici un article qui vous donnera quelques repères sur son alimentation, avec les conseils d'Eric Saban, pédiatre, Commentfaire pour mettre Bébé sur le pot ? L'acquisition de la propreté chez l'enfant intervient en général vers 2 ans et demi ou 3 ans. Pour aller sur le pot naturellement, l'enfant doit Pourcommencer à voir les messages, sélectionnez le forum que vous voulez visiter depuis la liste ci-dessous. Page 1 sur 3 1 2 3 Dernière. Aller à la page: Affiche les résultats de 1 à 8 sur 17 ma fille de 24mois refuse le pot. Outils du sujet. Afficher la version imprimable; Envoyer cette page par e-mail Suivre ce sujet Mot : Pseudo : Filtrer 1235034552 #1. poulette94. Voir Commentcommencer la propreté ? Pour apprendre à être propre, un tout-petit doit être prêt physiologiquement et psychologiquement. Cela se produit en général entre 2 et 4 ans. Il ne faut pas forcer un enfant à devenir propre, mais plutôt suivre son rythme et lui faire confiance. Ainsi, Quand l’enfant est propre ? vDHeX. en bref L'introduction des solides quand?, comment?, quoi? Article paru dans le hors-série Alimentation de la mère qui allaite et diversification du bébé allaité, 2018. En 2018, toutes les instances internationales OMS, UNICEF, IBFAN, WABA, ILCA et LLLI – tous les sigles sont développés en fin d’article qui soutiennent, protègent, défendent, promeuvent l’allaitement, recommandent un allaitement exclusif c’est-à-dire uniquement du lait maternel pendant les six premiers mois de vie de l’enfant. Le pédiatre italien Adriano Cattaneo IBFAN les appelle avocats de l’allaitement » breastfeeding advocates par opposition aux praticiens qui encouragent une introduction des solides aux 4 mois de l’enfant, qu’il qualifie d’ avocats de l’industrie » car, à cet âge, le choix se porte bien souvent vers les petits pots de nourriture industrielle, même si l’on peut donner des soupes, compotes et bouillies faites maison. Pourquoi faut-il un jour introduire les solides ? Le lait maternel, aliment complet, couvre entièrement les besoins du nourrisson jusqu’à environ 6 cours du dernier trimestre de la grossesse, l’enfant s’est constitué un stock de fer, de minéraux sauf s’il naît prématurément ou s’il s’agissait d’une grossesse multiple. Si, à la naissance, la sage-femme estime qu'elle peut attendre que le cordon ombilical ne batte plus pour le couper, cela augmentera les réserves de fer de l’enfant. D’autre part, le fer présent dans le lait maternel est très assimilable, car il est livré avec son transporteur, la lactoferrine. Mais, vers 6 mois, les besoins en fer de l’enfant en pleine croissance nécessitent d’enrichir son alimentation en fer, et c’est un des buts de la diversification alimentaire. Les autres composants que l’on dit limitants du lait maternel, pour lesquels il faut un apport extérieur vers le milieu de la première année,sont le zinc, la vitamine B et les acides gras en oméga 3 et 6. Vers 6 mois, le développement psychomoteur de l’enfant s’accélère il aime la station assise, porte les objets et ses mains à la bouche, la sécrétion de salive augmente et va l’aider à avaler, le réflexe de protrusion de la langue qui rejetait hors de la bouche tout ce qui était épais s’inverse, les dents le travaillent, la mastication va apparaître, il cherche à imiter les membres de la famille. Il n’est plus seulement intéressé par l’assiette, le contenant, mais par ce qu’il y a dedans. Le voilà prêt pour de nouvelles découvertes. De fausses raisons d’introduire les solides Faire grossir un bébé Introduire les solides tel qu’on le propose chez nous, c’est-à-dire, à 4 mois, donner avant la tétée des légumes et des fruits sous forme de soupes un peu épaisses ou de compotes, en espérant faire ainsi grossir un nourrisson dont la courbe de poids est préoccupante, n’est peut-être pas très pertinent… Pour couvrir les besoins de ce bébé de 4 ou 5 mois, il serait plus important de revoir d’abord la conduite de l’allaitement. A-t-il un nombre suffisant de tétées aux deux seins, voire aux 4 ou 6 seins super-alternance ? Sa mère a-t-elle eu une baisse de la lactation ? Le lait maternel est bien plus nourrissant que les légumes et les fruits. Pourquoi vouloir remplacer un aliment de bonne valeur nutritionnelle, le lait maternel, un aliment complet glucides, protéines, lipides et plein de minéraux, vitamines et facteurs de défense qui apporte 70 à 80 calories pour 100 ml, par des aliments tels que carottes 27 calories pour 100 g, haricots verts 15 calories pour 100 g, pommes 52 calories pour 100 g, qui apportent des fibres, des vitamines, un peu de glucides, et c’est tout ? Si, en plus, légumes et fruits sont proposés avant la tétée, dans la mesure où le nourrisson a une petite capacité gastrique, il n’aura plus de place pour le bon lait de sa maman. Les aliments solides de bonne valeur nutritionnelle ne doivent pas venir à la place, mais en plus du lait maternel. Faire dormir un bébé Le Dr Amy Brown explique En 2015, nous avons démontré dans une étude voir dans les références que ni le lait maternel, ni le lait industriel, ni le moment de l’introduction des solides, ni la quantité de solides consommés n’avaient d’incidence sur la fréquence des réveils nocturnes des bébés entre 6 et 12 mois. Il n’y a aucune raison physiologique qui ferait que l’introduction d’aliments solides ou de céréales tôt dans la vie aiderait un bébé à d’abord, les bébés après les premières semaines ne se réveillent pas la nuit simplement parce qu’ils ont faim. Tout comme les adultes, ils se réveillent parce qu’ils ont froid, sont gênés ou tout simplement veulent du réconfort. La différence étant qu’ils ne peuvent pas toujours se calmer seuls pour se même si c’était pour la faim, la solution la plus raisonnable serait d’offrir du lait supplémentaire, car il donnera plus d’énergie, de graisses et de protéines que tout autre aliment que vous pouvez donner à un les calories du nourrisson pendant la journée peut réduire la probabilité d’une alimentation nocturne, mais ne réduira pas la nécessité pour les parents de s’occuper du bébé pendant la nuit. L’allaitement maternel n’a pas d’impact sur le sommeil du nourrisson entre 6 et 12 mois. » Faire découvrir d’autres saveurs à l’enfant Cet argument peut être recevable pour un nourrisson alimenté avec un lait industriel car, du matin au soir et du soir au matin, sept jours sur sept, il reçoit la même nourriture. Alors que, pendant la grossesse, où il buvait jusqu’à 500 ml par jour de liquide amniotique, ses compétences très spécifiques de bébé à naître lui permettaient de sentir et goûter toutes les saveurs des aliments que sa mère consommait…La diversification va permettre de casser la monotonie des repas et de varier goûts, odeurs, saveurs… mais ce n’est pas une nécessité pour l’enfant allaité qui goûte, via le lait maternel, tout ce que sa mère mange. Quand introduire les solides ? Les recommandations médicales quant à l’introduction des solides ont toujours varié depuis la nuit des temps. Nourrir son enfant est néanmoins pendant longtemps resté l’apanage des mères, qui faisaient aussi avec ce qu’elles avaient à leur disposition diversifier un enfant l’inscrit dans sa observant leurs propres enfants allaités, les premières animatrices LLL, en 1956, ont conclu qu’un allaitement exclusif d’environ six mois leur convenait très bien. Progressivement, elles ont été rejointes en ce sens par l’UNICEF, en 1999, l’OMS, en 2001, ces deux instances n’ayant jamais depuis changé leurs France, le PNNS le dit en 2005, dans la brochure Allaitement maternel, les bénéfices pour la santé de l’enfant et de sa mère. Mais en 2011, un article de Fewtrell et al publié dans le British Medical Journal va mettre en question ce consensus international autour des six mois d’allaitement exclusif. L’article, qui fait polémique, aura un grand retentissement dans la presse internationale alors qu’il s’agit seulement d’opinions d’experts, ce qui, au niveau de la fiabilité d’une recommandation, est ce qui a le moins de valeur. De plus, trois des quatre experts ont des liens d’intérêt avec les firmes d’aliments pour bébés. Pour des raisons non fondées que l’UNICEF UK va aussitôt critiquer, ils proposent de diversifier à 4 d’autres études, très médiatisées elles aussi mais toujours avec des biais faussant les résultats, contibueront à jeter encore plus le trouble sur l’âge d’introduction des solides. Par exemple, les mères entendent souvent dire que, pour prévenir les allergies, il faudrait introduire tous les aliments entre 4 et 6 mois. Or les études se suivent et se contredisent. Ainsi, en 2005, l’introduction du gluten contenu dans le blé, le seigle, l’orge, l’avoine est recommandée entre 4 et 7 mois, en petites quantités, alors que l’enfant est toujours allaité et avec la poursuite de l’allaitement pendant encore au moins deux ou trois mois. Ces recommandations visent alors à prévenir la maladie cœliaque chez des enfants à risque Norris 2005, voir les références à la fin de l’article. Ces recommandations sont immédiatement étendues à tous les enfants, à risque ou non de cette 2014, une nouvelle étude Lionetti et al, beaucoup moins médiatisée, conclut que parmi les différents facteurs étudiés introduction du gluten avant 6 mois ou après 12 mois, allaitement ou non, il est très clair que c’est le bagage génétique qui est de loin le plus important pour déterminer quels enfants développeront une maladie cœliaque. » Rien ne presse donc pour introduire le gluten, exit la fenêtre d’opportunité » entre 4 et 7 mois. Mais comme il est difficile de suivre les évolutions de la recherche, beaucoup de professionnels de santé en sont restés à l’étude de 2018, il semble y avoir consensus sur le fait que le gluten doit être introduit en petites quantités aux environs de 6 mois un croûton pas trop frais, pas la baguette entière ! Autre point pour prévenir les allergies, certains allergologues recommandent d’introduire les aliments allergéniques lait de vache, arachide, blé, poisson, oeuf, sésame… à 4 mois. Mais comment fait-on avec un bébé allaité qui n’est pas prêt à se diversifier, et une mère qui veut continuer à allaiter ? Il n’y a plus aucun bon sens, et les multiples autres avantages de l’allaitement exclusif pour la mère et l’enfant sont ignorés. Ne peut-on considérer que, dans la mesure où certaines molécules présentes dans l’alimentation de la mère passent dans le lait et passaient déjà dans le liquide amniotique, ce qui permet à la majorité des enfants allaités d’acquérir une tolérance face à ces aliments ou malheureusement, pour quelques-uns, de développer une allergie, la diversification alimentaire commence, en fait, en même temps que la vie ? La SFP continue de préconiser une diversification à partir de 6 mois L’allaitement maternel peut être poursuivi jusqu’à l’âge de 2 ans ou plus, à condition d’être complété par la diversification alimentaire à partir de 6 mois » SFP 2013. Et Chez l’enfant sain, né à terme, que l’enfant soit allaité ou reçoive une préparation pournourrissons, il n’y a pas de justification nutritionnelle à lui donner un autre aliment que le lait, idéalement maternel, avant l’âge de 6 mois ; il est recommandé de poursuivre l’allaitement pendant et après l’introduction de la diversification » Archives de Pédiatrie 2015, voir les références.L’ANSES, en 2016, recommande elle aussi de ne commencer la diversification alimentaire qu’à partir de 6 mois. Après 6 mois, l’Agence rappelle la recommandation générale de diversifier le régime alimentaire et les sources d’ le nouveau carnet de santé, sorti en février 2018, les repères d’introduction des aliments, qui se basent sur les recommandations du dernier PNNS, indiquent pour tous les aliments consommation recommandée » à 6 mois possible » pour certains à 4 mois. Il semble donc actuellement judicieux pour le bébé allaité 1. d’attendre que l’enfant ait environ 6 mois, sans être rivé sur le calendrier, et d’observer les signes indiquant qu’il est prêt à manger des solides, 2. de très vite lui proposer autre chose que des fruits et des légumes blé et autres céréales, viande, œufs, poissons en début de chaîne alimentaire sardines, maquereaux, saumon, arachide, laits animaux, même s’ils sont réputés allergisants s’ils sont présents au domicile, y compris dans les familles à risque d’allergie, car on ne peut tolérer que ce que l’on a déjà rencontré. Inutile donc de retarder l’introduction de ces aliments. Il faudra néanmoins surveiller des signes d’intolérance eczéma, régurgitations, mal-être, pleurs… et respecter les refus de l’enfant, tout en reproposant l’aliment, sans forcer. Par contre, si le bébé présente des manifestations atopiques eczéma sévère, il faudra faire une enquête allergique avant d’introduire ces aliments, tout particulièrement l’arachide et l’œuf, 3. de ne pas négliger l’apport en lipides ; et pour apporter suffisamment d’acides gras essentiels dont ALA et DHA, il est conseillé d’utiliser des huiles riches en oméga-3 colza, olive et noix, ou des huiles mélangées et les petits poissons mentionnés ci-dessus. Marie-Françoise Rolland-Cachera, spécialiste française des lipides chez l’enfant, explique dans une publication de l’Inserm de 2012 que en cas de régime pauvre en lipides, le métabolisme sera programmé pour faire face aux déficits et ne sera pas préparé à faire face à des apports élevés en lipides ultérieurement ». La restriction des graisses avant l’âge de 2 ans augmenterait le risque de développer un surpoids ultérieurement, lorsque les apports en lipides seront plus élevés, 4. de suivre les recommandations du pédiatre espagnol Carlos Gonzales, émises lors de la Journée Internationale de l’Allaitement de 2008 Respectez votre enfant. N’obligez pas votre enfant à manger. Ne l’obligez jamais, d’aucune façon, sous aucun prétexte et pour aucune raison. Il n’y a aucune base scientifique pour recommander certains aliments en certaines quantités à certains âges… L’enfant peut continuer à se nourrir à la demande, tout comme avant. » 5. la question des régimes végétariens sans viande ni poisson et végétaliens sans viande, poisson, œufs, laits animaux, miel, toute nourriture issue de l'animal demande de la part des parents des connaissances très spécifiques pour éviter les carences en protéines, fer, zinc, vitamines du groupe B particulièrement la vitamine B12, minéraux divers. Au-delà de 6 mois, le lait maternel couvre les besoins de l’enfant en partie, mais pas en totalité. D’où la nécessité de diversifier, tout en se fiant à l’enfant. Un accompagnement par un professionnel de santé spécialisé en nutrition peut se révéler bien utile. Comment introduire les solides ? Deux approches sont possibles. L’approche classique Elle consiste à donner des purées industrielles ou faites maison, à la cuillère. L’enfant se fait nourrir passivement. Il faudra ensuite le sevrer de ce type d’aliments pour passer à l’alimentation familiale et l’encourager à manger seul. Proposer les aliments avec une cuillère quand l’enfant est disponible,c’est-à-dire non fatigué et non affamé, donc plutôt après la tétée, et présent à la table familiale. Les épices remplaceront avantageusement le sel qui est à éviter. Il est intéressant de savoir - qu’on observe plus de difficultés alimentaires quand on introduit les grumeaux et les morceaux après l’âge de 8 mois Northstone 2001, voir dans les références - que la consommation d’aliments de sevrage du commerce est corrélée à des apports en sucre plus importants Foterek 2016, voir dans les références - que dans l’étude multicentrique de l’OMS de 2006, les enfants avaient en moyenne à 6 mois, 9 tétées et 2 repas ; à 9 mois, 7 tétées et 4 repas ; à 12 mois, 5 tétées et 4,5 repas. L’approche DME L’autre approche, qui semble nouvelle mais remonte en fait à la nuit des temps, prend en compte le fait que les goûts découverts dans le liquide amniotique conduisent le nouveau-né vers le sein et le colostrum, puis le nourrisson vers la table familiale. Cela évite une double transition et propose à l’enfant de se nourrir lui-même,avec ses mains. Il s’agit du Baby Led Weaning » en anglais, ou l’enfant acteur de son sevrage » sevrage entendu comme le moment où l’enfant commence à prendre autre chose que du lait, et non comme l’arrêt total des tétées, généralement traduit en français par Diversification Menée par l’enfant » DME. Les avantages de l’approche DME Partage du repas en famille Réduction du temps de préparation des repas Offre d’aliments non transformés Découverte de couleurs, textures, goûts, formes et odeurs variés Écoute et respect des signaux de faim et de satiété Progression rapide de la motricité fine Contribution au développement de la confiance chez l’enfant Attitude positive face à la découverte alimentaire Diminution possible du risque d’obésité Quelles conditions pour commencer la DME ? Enfant d’environ 6 mois Enfant assis dans une chaise haute, ou sur les genoux d’un parent Bon contrôle de la tête, de haut en bas, et de droite à gauche Tient et porte les aliments à la bouche seul Présence d’un adulte à ses côtés Aliments mous, bâtonnets de la taille d’une frite Aliments dangereux type petits pois hors de portée Ni encourager, ni féliciter, ni aider comme dans la pédagogie Montessori Laisser l’enfant aller à son rythme Protéger le sol ! Un chien y trouvera son compte, sinon serpillière. Que savoir sur les aliments Aliments riches en fer toutes les viandes, les abats, le foie, le boudin, le poisson, les légumineuses haricots, lentilles, pois chiches, œufs, tofu, abricots, légumes vert foncé à feuilles, purées de noix, amandes. Précision le fer animal » est un fer héminique » qui est bien absorbé, alors que le fer végétal l’est beaucoup moins. Aliments riches en zinc foie, abats, viande, volaille, poissons, jaune d’œuf. Aliments riches en vitamine B6 volaille, poisson, foie, banane. Aliments riches en acides gras n-6 et n-3 poissons gras, huile de colza, de noix, de lin… Aliments à haute teneur calorique tous les aliments sauf les galettes de riz, les soupes claires, la plupart des fruits et légumes sauf avocat, banane, pomme de terre, patate douce et courge, qui sont caloriques. Aliments à risque élevé de fausse route légumes crus, petit pois, pomme crue, pop-corn, céréales soufflées, noix variées et noisettes, fruits secs, petits fruits cerises, baies, raisin, tomates cerise, bonbons et tous aliments durs que le bébé ne peut pas écraser facilement dans sa bouche. L’enfant continue en parallèle à beaucoup téter au sein ou à boire du lait maternel si sa mère est absente, car le lait maternel reste sa nourriture de base durant sa première année. Sa nourriture est peu ou pas salée, ni sucrée. Et autant qu’elle soit locale et, quand c’est possible, sans pesticides et autres étude n’a montré qu’il fallait privilégier une approche – par exemple la DME – à l’exclusion d’une autre, la cuillère. Les deux approches peuvent se compléter. Jamais » et toujours » ne font pas bon ménage avec l’ enfant de moins de 1 an a un fort réflexe nauséeux qui lui évite d’avaler de travers. Peu à peu, à force d’entraînement, ce réflexe s’atténuera. En conclusion Suggérer à la mère d’un enfant qui se développe bien de lui proposer quotidiennement, vers le milieu de sa première année, une variété d’aliments de bonne valeur nutritionnelle, dans tous les groupes alimentaires, de façon agréable à l’œil et à l’odorat, en famille, sans le forcer, et de le laisser mener la diversification à son rythme, sans regarder le calendrier, semble être du bon études sur la diversification alimentaire et la prévention des allergies apportent en permanence de nouveaux éléments de réflexion. Nous aimerions que certaines soient menées sur des enfants dont l’allaitement n’est pas raccourci et dure plusieurs années. Nous pensons aussi qu’il pourrait y avoir deux approches de la diversification alimentaire selon que l’enfant est ou non allaité et selon qu’il le sera encore longtemps ou rappelons-nous qu’en matière d’alimentation entre autres, la vérité d’aujourd’hui est issue du mensonge d’hier Romain Kammermann, la vérité d’aujourd’hui est le mensonge de demain, et la vérité d’ici n’est pas nécessairement la vérité d’ailleurs ! Marie Courdent, animatrice LLL, puéricultrice, consultante en lactation IBCLC, DIULHAM, formatrice Sigles ANSES Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travailIBFAN International Baby Food Action NetworkILCA International Lactation Consultant AssociationLLLI La Leche League InternationalOMS Organisation mondiale de la Santé en anglais, WHOPNNS Programme National Nutrition SantéSFP Société Française de PédiatrieWABA World Alliance for Breastfeeding Action Références - Brown A, Harries V. Infant sleep and night feeding patterns during later infancy association with breastfeeding frequency, daytime complementary food intake, and infant weight. Breastfeed Med 2015 ; 105 Michael L et al. Infant Sleep and Bedtime Cereal. Am J Dis Child 1989 ; 1439 Brown A. Giving your baby solid food early won’t help them sleep better, avec vidéo- Norris JM et al. Risk of celiac disease autoimmunity and timing of gluten introduction in the diet of infants at increased risk of disease. JAMA 2005 ; 29319 D. Turck et al. Diversification alimentaire évolution des concepts et recommandations. Archives de Pédiatrie 2015 ; 22 457-460- Lionetti E et al. Introduction of gluten, HLA status, and the risk of celiac disease in children. N Engl J Med 2014 ; 371 Bidat E. Prévention des allergies alimentaires en 2017, 26 septembre Northstone K et al. The effect of age of introduction to lumpy solids on foods eaten and reported feeding difficulties at 6 and15 months. J Hum Nutr Diet 2001 ; 141 Foterek K et al. Commercial complementary food consumption is prospectively associated with added sugar intake in childhood. Br JNutr 2016 ; 11511 Newmark LM. Do breastfed infants need extra iron ? Splash ! MilkScience Update 2018 6- 9. Traduit dans les Dossiers de l’allaitement n° 138, septembre CoFAM. Recommandations pour la diversification alimentaire du nourrisson allaité au cours de la 1ère Newman J. Commencer la diversification LLLFrance. Dossier sur la diversification alimentaire. - Gonzalez C. L’allaitement au-delà de 6 mois une diversification alimentaire en toute confiance. Dossiers de l’allaitement, hors-série Gonzalez C. Mon enfant ne mange pas, éditions Ligue La Leche, en vente sur la boutique du site LLL France- Kleintjes S. La diversification menée par l’enfant, L’instant présent, Piermarini L. J’arrête le sein tout seul ! Sans larmes ajoutées, Macro Éditions, OMS, Principes directeurs pour l’alimentation complémentaire de l’enfant allaité au sein, WHO, Breastfeeding in the WHO Multicentre Growth Reference Study. Acta Paediatr Suppl 200 ; 450 WHO, Complementary feeding in the WHO Multicentre Growth Reference Study, WHO, Infant and Young Child Feeding Counselling An integrated course, Feeding in the first year of live draft SACN report, 2017. Le hors-série est en vente dans la boutique et dans les groupes LLL. Alimentation de la mère qui allaite et diversification du bébé allaité Quand on commence à allaiter son bébé, on se pose souvent beaucoup de questions sur sa propre alimentation. En fait, il n’est nul besoin d’avoir une alimentation particulière quand on allaite. Comme le dit l’un des concepts LLL, une bonne alimentation signifie un régime varié et bien équilibré, composé d’aliments servis dans un état aussi proche que possible de leur état naturel ». Ce qui est vrai qu’on allaite ou pas, et couvre une très large palette de régimes alimentaires. Cela dit, la période d’allaitement est parfois l’occasion de changements alimentaires. Soit que certains aliments semblent provoquer des réactions indésirables chez le bébé allergies, coliques…, soit qu’il y ait alors prise de conscience que l’alimentation de la famille gagnerait à être améliorée, pour le bien de tous ses membres. Puis, quand le bébé grandit, c'est sur son alimentation à lui qu'on se pose des questions. Quand commencer la diversification ? Quels aliments proposer ? En quelles quantités ? En purée ou en morceaux ? À toutes ces questions, les manuels de puériculture et les professionnels de santé ont des réponses qui, par leur précision minutieuse, engendrent en fait plus d’inquiétude que de confiance chez les parents. Ne serait-il pas plus simple, plus logique et finalement plus efficace, de se laisser mener par l’enfant ? D’attendre qu’il soit prêt ? D’attendre qu’il demande lui-même à goûter autre chose que le lait souvent en mettant la main dans l’assiette du père ou de la mère ! ? De le laisser découvrir les solides à son rythme, selon son goût, dans les quantités qu’il souhaite et dans les textures qu’il préfère ? Sur ces deux sujets, nous avons publié plusieurs numéros d'Allaiter aujourd'hui, avec à chaque fois de nombreux témoignages de parents. Ce sont ces témoignages que vous retrouverez dans ce hors-série, découpés et regroupés par thèmes changer son alimentation ?, précautions particulières, évictions, les solides quand ?, comment ?, quoi ? Et Voir le produit 9,50 € La Leche League France et vous La Leche League France a pour but d’aider, par un soutien de mère à mère, toutes les femmes souhaitant allaiter, en leur transmettant l’art, le savoir-faire de l’allaitement. Ce soutien et cette information passent par des réunions, du soutien par téléphone et par courriel, un forum, un groupe Facebook, des publications, des congrès, des publications et des colloques à destination des professionnels de santé, et ce site, où vous trouverez réponse à toutes vos questions sur l’allaitement. Les informations trouvées sur le site ne se substituent pas à un avis médical, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. IntroductionL’acquisition de la propreté est une étape particulièrement importante. Comme la marche, elle va permettre à l’enfant de faire un progrès de plus vers l’autonomie et la socialisation. Toutefois, la maîtrise des sphincters » va s’acquérir progressivement. Elle doit respecter trois impératifs et elle va passer par plusieurs étapes figure sphincter anal c’est le muscle de l’anus de forme ronde.Le sphincter vésical c’est le muscle de la vessie de forme ronde.La propreté diurne c’est la propreté au cours de la propreté nocturne c’est la propreté au cours de la nuit. Figure L’acquisition de la propreté est un pas vers l’autonomie. Les trois impératifs à respecterPour aider l’enfant lors de l’acquisition de la propreté, l’adulte parent ou AM doit respecter trois impératifs tableau impératifs sont d’ordre physique, intellectuel et Les trois impératifs de la propreté. Les étapes de la propretéToute personne qui s’occupe d’enfants doit savoir que l’on ne peut obtenir l’acquisition de la propreté de l’enfant tant que son système nerveux n’a pas atteint un certain stade de maturation lui permettant le contrôle des de la propreté sera longue et progressive, avec parfois des retours en arrièreL’enfant maîtrise d’abord le sphincter anal puis ensuite le sphincter vésicalLa propreté sera d’abord diurne avant d’être nocturneL’acquisition de la propreté s’échelonne du 15e au 30e En principe, vers 36 mois 3 ans, l’enfant doit être propre jour et nuit. Cependant, il n’y aura lieu de s’inquiéter de l’énurésie nocturne que vers l’âge de 4 ansLa progression de la propretéLa propreté va s’acquérir entre l’âge de 18 mois et l’âge de 3 ans et demi-4 18 à 20 moisLe contrôle du sphincter analIl existe différents types d’enfants certains peuvent signaler leur besoin par un mot typique pipi, caca ou popo », mais ces mots signalent souvent l’évacuation qui vient de se produire ils sont employés après !.Le contrôle du sphincter vésicalL’enfant se fait mieux comprendre, il peut signaler qu’il s’est souillé, que sa culotte est mouillée, mais lorsqu’il a envie, le relâchement est brutal, rapide, il faut agir vite !Vers 22 à 24 moisLe contrôle analC’est parfois une courte période de retour en arrière pour les enfants qui semblaient avoir fait de nets progrès les mois précédents. Cette régression porte à croire qu’il existe un stade de transition à cet contrôle vésicalIl est conscient de ce que l’on attend de lui mais il est incapable de maîtriser le relâchement, et celui-ci se produit souvent plus tôt que voulu ». C’est l’âge où certains parents pressés d’obtenir un résultat rapide peuvent lever l’enfant la nuit pour éviter qu’il se mouille opération qui peut perturber très sérieusement l’enfant et qu’il faut à tout prix éviter.Vers 2 ans à 2 ans et demiLe contrôle du sphincter analLa maîtrise du sphincter anal est meilleure. Dans la journée l’enfant peut être propre. Il sait se faire comprendre et peut avertir à l’avance bébé caca… Jules popo ».Le contrôle du sphincter vésicalL’enfant a une capacité de rétention plus grande. Mais la maîtrise du sphincter vésical est difficile à acquérir ; l’enfant a encore des irrégularités dans la journée. L’enfant est vexé lorsqu’il constate le petit accident » et se met souvent à 3 ans à 3 ans et demiLe contrôle du sphincter analL’enfant va seul au pot ou au WC, il ferme souvent la porte. Il se félicite lorsqu’il constate le résultat dans le pot. Il parle souvent à ses matières fécales pas bon !…, baahr ! ».Le contrôle du sphincter vésicalL’enfant a acquis la propreté diurne et possède un contrôle plus précis de son sphincter vésical. Il prévient l’adulte lorsqu’il va faire pipi. Les accidents sont assez rares, mais peuvent encore se produire jusqu’à 3 ans et jamais forcer un enfant à être propre! »Beaucoup de personnes s’imaginent à tort qu’il faut apprendre à l’enfant à devenir propre ! Or c’est une acquisition physiologique. Il ne faut jamais viser un conditionnement. Dans la majeure partie des cas, c’est la mère qui se conditionne et non l’enfant ! Le rôle de l’adulte parents ou professionnel est de savoir choisir les moments favorables et la manière pour aider l’enfant à progresser de façon naturelle sur la voie de la 2 ans et demiSandro 2 ans et demi vient de faire son petit besoin » sur le pot. Il se lève, regarde avec curiosité et appelle Nany l’AM qui s’occupe de lui et dit beau caca ! »Nany tarde à venir. Sandro décide de transporter le pot à la cuisine pour lui faire admirer le résultat. Nany le félicite et lui demande d’aller ensemble le vider aux WC. Sandro marche en tenant le pot fermement, puis avec vivacité, il le retourne sur la cuvette des WC. Il est fier de cet exploit et demande à Nany de lui faire un de l’AMAttitudes conseilléesL’AM veillera àÊtre attentif au comportement de l’enfant quand il commence à toucher sa couche, à dire pipi, caca » ; il est souhaitable de verbaliser ce qu’il a fait et d’établir un lien entre le mot et ce qu’il a fait dans sa couche. Ensuite, proposer à l’enfant d’aller seul sur le pot, ou aux WC ;Surveiller les habitudes naturelles de l’enfant. Il faut observer le rythme d’élimination de l’enfant pour suivre ses habitudes naturelles et essayer de les maintenir. L’installation sur le pot ne doit pas excéder 5 minutes et l’enfant doit y être confortablement assis ;Valoriser la propreté. Insister sur le rôle social de cette fonction ; être propre c’est pouvoir aller à l’école maternelle », c’est faire comme papa et maman »… S’il obtient un résultat positif, il faut le féliciter ; même s’il a fait, par mégarde, dans sa culotte, il faut admirer le beau résultat »… Il faut éviter les pots-jouets ceux qui ont l’apparence d’un canard ! car, l’enfant ne peut pas identifier le rôle réel du à proscrireL’AM conseillera aux parents d’éviter impérativement les attitudes les moqueries et les comparaisonsSi on compare l’enfant avec ironie à ses frères, il se sentira coupable et humilié. Ces reproches, ajoutés à la crainte de se salir, feront de lui un enfant inquiet, peureux et redoutant tout l’usage de la forceAttention éduquer n’est pas dresser, il ne faut jamais forcer l’enfant à aller au pot, ni exercer un contrôle oppressant sur ses évacuations, encore moins le gronder si le résultat se fait attendre… C’est une façon d’assujettir l’enfant. Ce serait une grave faute sur le plan humain et professionnel.Références[34] La progression de la propreté a été longuement étudiée par Arnold Gesell. Chaque enfant a un rythme propre mais Gesell a trouvé à chaque tranche de vie des caractéristiques relativement GassierPuéricultrice diplômée d’État, Professeur de sciences et techniques médico-socialesClaudine Montenot-Wagner, Puéricultrice diplômée d’État, Cadre de santé, Formatrice des assistants maternelsCoordinatrice Petite Enfance à la Direction du service Enfance » de la mairie de MontpellierAvec la collaboration de Dr Francis Perreaux, Pédiatre – Urgentiste, Formateur des premiers secours au personnel de santéMuriel BenazetPuéricultrice et coordinatrice de la section AP à l’IFSI de BéziersGuide de l’assistant maternelVous venez de lire le chapitre 9 La socialisation Acquisition de la propreté de l’ouvrage Guide de l’assistant maternel Aller sur le site de e-commerce pour lire en accès libre le chapitre 11 L’organisation des espaces de vie Les aménager, les sécuriserVoir les articles de la rubrique Concours paramédicaux et Scolaire Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes merciPolitique de confidentialité Produits LaitiersLaitLait maternel ou "lait 1er âge" exclusifLait maternel ou "lait 1er ou 2ème âge" exclusifLait maternel ou "lait 2ème âge" ou lait de suite 500ml/jourLait maternel ou "lait 2ème âge" 500ml/jourLait maternel ou "lait 2ème âge" 500ml/jourLait maternel ou "lait 2ème âge" 500ml/jourLait maternel ou "lait 2ème âge" 500ml/jourLait maternel ou "lait 2ème âge" 500ml/jourLait maternel ou "lait 2ème âge" 500ml/jourLait maternel ou "lait 2ème âge ou de croissance" ou LV entierLait de vache..etcYaourts et fromagesNonNonNonNonNonNonNonNonOui FromagesOui Fromage blanc + yahourtOuiLégumesLégumesNon- début possible sous forme de puréeOui choix vaste mais ! pas trop de légumes à feuilles nitrate-nitrite et légumes à goût prononcé champignons, tomates et indigeste choux, oignonsOuiOuiOuiOuiOuiOuiOui choix vaste + légumes en saladeOuiCarottes et épinardsNonNon début possible sous forme de purée- début possible sous forme de puréeOui en petits pots car leur taux de nitrates est alors contrôlé.OuiOuiOuiOuiOuiOuiOuiPommes de terreNonNon début possible sous forme de puréeOui riz 2 càs, pâtes, semoule, polenta ou purée de pomme de terre 1OuiOuiOuiOuiOuiOui en purée lisse ou petitis morceaux. Début possible de frites, chips, pommes de terre riz, pâtes, semoule, polenta ou pommes de terre en morceauxOuiLégumes secsNonNonNonNonNonNonNonNonNonOui en purée vers 15-18 mois lentilles, pois cassés, haricots blancsOuiCruditésNonNonNonNonNonOui mixées ou coupées en petites lamelles concombre, tomate, avocatOuiOuiOuiOuiOuiViandesNonNonOui 10 à 15g de viande maigre mixée 1x/jour remplacer 1x/sem par volaille et 2x/sem par poissonOuiOuiOuiOuiOuiOui Hachées 20gr/jourOui 20 à 30g de viande maigre en morceaux 1x/jour remplacer 1x/sem par volaille et 2x/sem par poissonOuiProduits céréaliersPainNonNonNonNonOui pain de mie coupé en dés avec margarine, miel, confiture, sirop etcOuiOuiOuiOuiOui tartine en dés croûtes à 18mois avec fromageOuiPâtesNonNonNonNonOui Pâtes fines à incorporer dans la soupe ou la purée vermicelle, alphabetOuiOuiOuiOuiOuiOuiCéréalesNonNonNonNonNonNonNonNonOuiOui céréales + lait ou bouillie lactée = lait + farine infantileOuiFarines infantilesNonNon début possible sans gluten de façon à éviter une sensibilisation de la muqueuse intestinale- début possible sans gluten de façon à éviter une sensibilisation de la muqueuse intestinale- début possible avec gluten- début possible avec gluten- début possible avec gluten- début possible avec gluten- début possible avec gluten- début possible avec gluten- début possible avec glutenNonFruitsFruitsNonNonOui panade de fruits, compote ou fruits mixés ! pas de kiwis, mangues, groseilles, fraises, mûres avant 1 anOuiOuiOuiOuiOuiOui crus ou écrasésOui 1 à 3 fruits/jour entiersOuiFruits secsNonNonNonNonNonNonNonNonNonOui dattes, figues, pruneauxOuiFruits à coqueNonNonNonNonNonNonNonNonNonNonOui Cacahuètes arachide et fruits à coque noix, noisettes, amandes, pistaches, pignons, noix de cajou, noix du Brésil, noix de pécan ...DiversPoissonsNonNonNonOui Mixés Poissons maigres sabre, colin, limande, sole, merlan, cabillaud, bar, etc. Attention il est recommandé chez des enfants ayant des prédispositions à l'allergie de n'introduire le poisson que vers 1 anOui MixésOui Hachés Poissons gras thon, sardine, hareng, saumonOui HachésOui HachésOui HachésOui Crustacés moules, crevettes, bigorneaux, etcOuiOeufsNonNonOui 1 jaune d’œuf qui remplace la viande 1x / semaineOuiOuiOuiOuiOuiOui 1/3 oeuf durOui 1/2 oeuf jaune + blanc et après 2ans, 1 oeuf entierOui 1 oeuf dur, coque ou molletMatières grasses ajoutéesNonNonOui huile de colza ou de soja, margarineOuiOuiOuiOuiOuiOuiOuiOuiSelNonNonNonNonNonNonNonNonNonOui peu pendant la cuisson; ne pas resaler à tableOuiProduits sucrésNonNonNon- début possible mais sans urgence à limiter- début possible mais sans urgence à limiter- début possible mais sans urgence à limiter- début possible mais sans urgence à limiter- début possible mais sans urgence à limiter- début possible mais sans urgence à limiter- début possible mais sans urgence à limiterOui à limiterBoissonsOui eau pure proposer en cas de fièvre ou forte chaleur.Oui eau pure proposer en cas de fièvre ou forte chaleur.Oui eau peu minéraliséeOuiOuiOuiOuiOuiOui eau pureOui eau peu minéralisée + jus de fruits fraisOui Bien meilleure que la tomate achetée dans le commerce, elle est souvent plus savoureuse que celle achetée en godet. La tomate que vous allez semer vous permettra de cultiver des variétés différentes et d’en retrouver le vrai goût tout en prenant beaucoup de plaisir ! Multipliez donc les variétés de tomates, c’est l’assurance de découvrir de nouvelles saveurs A lire aussi Comment faire la récolte des graines de tomates ? Suivez nos conseils de semis de tomate pour avoir une belle récolte Technique de semis de tomate Il faut d’abord vous munir d’un contenant adapté. Vous choisirez par exemple une caissette, barquette d’oeufs ou des godets pots, ces derniers étant de plus en plus employés pour ce type de semis. Quand semer les tomates ? La culture de la tomate dure environ 4 mois, il est donc préférable de commencer le semis sous abri assez tôt, dès février ou mars afin de pouvoir mettre en terre au mois de mai. Commencez votre semis en intérieur dès le mois de février/mars à avril, de préférence sous serre ou au bord d’une fenêtre en évitant le soleil direct. Il faudra attendre que le plant soir bien formé avant de le mettre en terre, en extérieur, à partir de mi-mai. Dans les régions méridionales, on peut semer en pleine terre dès le mois d’avril. Mais rien ne vous empêche d’acheter des plants de tomates déjà formés et de les replanter dans votre jardin. Démarrer un semis de tomate Commencez par faire un lit de gravier pour faciliter le drainage 2 à 3 cm. Si cette opération n’est pas obligatoire, elle est fortement recommandée pour éviter que les racines ne pourrissent. Ce n’est pas obligatoire si vous utilisez des contenants du type barquette d’oeufs, godet en fibres naturelles. Ajoutez du terreau spécial semis jusqu’au 2/3 de la hauteur du contenant et tassez légèrement. Complétez ensuite pour remplir jusqu’en haut. Semez les graines. Espacez d’environ 4 cm en tout sens s’il s’agit d’une caissette. Quelques graines suffisent au milieu s’il s’agit d’un pot. À lire réaliser un semis à chaud en intérieur Après le semis, l’entretien Il faut arroser régulièrement de manière à maintenir le substrat légèrement humide, sans inonder le contenant. L’utilisation d’un petit pulvérisateur est recommandé pour les premières semaines. Il faut environ une semaine au dessus de 20° pour voir apparaître les premiers germes. C’est à ce moment que le semis a le plus besoin de lumière. Pour un semis en caissette, repiquez en godet dès qu’apparaissent les premières feuilles Continuez à arroser régulièrement et apportez éventuellement un peu d’engrais organique. Repiquer en pleine terre A partir de début mai, s’il n’y a plus de risque de gelée, mettez en place dans votre potager ou votre jardin dans une terre enrichie de terreau. La récolte se faite environ 4 à 6 mois après le semis selon les conditions de culture. Un bon ensoleillement et un arrosage régulier sera la clé de la réussite. Lire la suite >> Réussir la culture de la tomate Pour aller plus loin Comment faire la récolte des graines de tomates ? Traitement contre le mildiou de la tomate Fabriquer son purin d’orties pour protéger tomates Cultiver les tomates cerises Cultiver la tomate en pot ©Petra Schüller, ©StockRocket ©Pixelelfe, ©YuriyS

commencer les petit pot a 3 mois et demi